Ce deuxième tome des aventures de Tintin est autant le reflet d’une époque coloniale et paternaliste, illustrée dans nombre de films produits à cette période, qu’une illustration des coutumes de peuples aujourd’hui disparus ou en passe de l’être.
« Les Dieux de cuivre » (1934) de Gaston Muraz
Ce deuxième tome des aventures de Tintin est autant le reflet d’une époque coloniale et paternaliste, illustrée dans nombre de films produits à cette période, qu’une illustration des coutumes de peuples aujourd’hui disparus ou en passe de l’être.
Le portage, le travail forcé, l’exploitation des ressources naturelles sont surreprésentés dans des films très souvent commandités par des organismes d’État. Mais en parallèle de ces images, on découvre aussi des rituels ancestraux pratiqués par des peuples disparus ou en voie de disparition. Des témoignages irremplaçables sur les cultures africaines en dépit de la violence de certaines situations.
Collection CNC