Quand le vent se lève et souffle vers toi, j’ai les yeux ouverts et le cœur qui bat. Et dès ce moment je ne sens plus rien, même pas le froid glacial de ce matin.
Et je te regarde grelotter de froid sur ce quai de gare. Tu ne me vois pas. Il m’en faudrait peu pour prendre ta main. Mais comme d’habitude, je ne ferai rien.
Scénario étrange, vécu cent fois. Moi le grand timide, tu ne me connais pas. Je te regarde t’éloigner au loin. Au revoir, princesse, et à demain…
Paroles et musique : Y. Fourneau