Des musiques à l’envers me reviennent en hiver. Qui sait où dormaient ces musiques ? Peut-être évanouies, profondément enfouies. Refrains mélancoliques.
Des musiques de ce temps me reviennent au printemps. Qui sait où dormaient ces musiques ? Peut-être, on ne sait pas, elles sont faites pour toi et ne s’en iront pas.
Des musiques à chanter me reviennent en été. Qui sait où dormaient ces musiques ? Peut-être, dans ma tête, elles y faisaient la fête avec des refrains poétiques.
Des musiques qui sonnent me reviennent en automne. Qui sait où dormaient ces musiques ? Peut-être, on ne sait pas, elles sont faites pour toi. Attends et bientôt tu verras.
Paroles et musique : Y. Fourneau