C'était un mois avant Noël 2013. La mère de Louis Greth, quatorze ans, découvrait son fils pendu à une poutre dans un appentis de la ferme familiale dans l'Oise. L'affaire ne va entraîner ni enquête judiciaire, ni autopsie. La mort est aussitôt classée en suicide : le geste désespéré d'un adolescent. Les proches de la victime vont tout de suite douter de cette explication. Selon eux, Louis n'avait aucune envie d'en finir avec la vie. Il ne témoignait d'aucun mal-être