Les travailleur·ses du sexe (TDS) ont été parmi les premières populations à investir l’espace numérique : d’abord via les pornographies, mais aussi pour susciter des rencontres IRL tarifées.
Cependant, le tapin et le contenu pour adultes sont soumis à des contraintes législatives et des enjeux de protection de la vie privée magnifiés.
Traquées et exclues par les CGU de la plupart des plateformes, les TDS sont en quelque sorte les canaris des libertés numériques. Comment arrivent-iels néanmoins à exercer leurs métiers via Internet ?




